Quarante-huit ans, la crise de la cinquantaine me laisse- t-on entendre subtilement entre deux conversations. Toujours est-il que j’ai toujours aimé conduire ; peut-être un peu moins maintenant le « je m’en foutisme » général de nos citoyens n’y étant pas pour rien ainsi que l’état de nos routes en Belgique ; mais justement en parlant de conduire, la moto permet de retrouver, un peu, cet esprit de liberté et surtout de plaisir. J’ai dit un peu les « autres » sont toujours sur la route… .
J’ai donc passé mon permis A début de cette année (2018) et j’ai engagé le premier rapport de ma crise du pré-cinquantenaire et ai acheté chez mon concessionnaire automobile, qui est également concessionnaire moto, une moto.
Avant cela je roulais déjà sur une 125cm3 bien qu’agréable et permettant déjà de profiter de moments d’évasion, cela manquais « un peu » de pêche, de patate, de répondant quoi. J’ai donc acheté un énorme monstre.
Non, en fait on ne peut pas à proprement parler de monstre avec la Honda CB500 X et ses 47,5 chevaux tout mouillé. Mais 48 chevaux c’est déjà largement suffisant pour se faire plaisir. En parlant avec quelques amis adepte de la poignée de droite on me dit que je vais vite m’habituer à la puissance et que à plus ou moins brève échéance je souhaiterais passer à plus puissant.
Peut-être bien mais en attendant celle-ci me suffit. Elle a un mois et j’ai roulé quelques 2000 kilomètres depuis son acquisition.
La prochaine… .
Un peu tôt pour penser à la suivante me dira-t-on, et bien en fait j’ai déjà une petite idée qui se matérialiserai sous la forme d’une AFRICA TWIN ou d’une GS.
Mais c’est une autre histoire, dans un futur plus lointain et à n’en pas douter plus coûteux. En attendant je compte bien profiter de la CB500 X.
